Je suis en manque......de contacts avec mes lecteurs. Qui ètes vous passants de l'ombre du virtuel ? Je me réjouis chaque jour de vos coups d'oeil, de vos ballades sur le chatouillement de mon âme.
Pour vous lecteur-écrivants , déposez moi un billet d'un seul mot qui définirait votre journée du 1er Juillet.
Osez un seul mot ......
J'oserai une page
France-Inter ne résiste pas à la soumission au pouvoir. Après avoir viré les humoristes S.Guyon et D.Porte , les émissions le splus écoutées sont supprimées.
La radio tout comme la presse est un bien commun, pour le public. Le critère de l'audience ne suffit plus à assurer la pérennité des émissions.
Le vernis de la démocratie se craquèle. P.Val directeur de la programmation qui pendant des années a dirigé Charlie Hebdo a-t-il perdu sa verve, troquer sa capacité de penser contre des miettes de pouvoir . Pour protester contre ses remaniements une manifestation a lieu Jeudi 1er Juillet à 18H devant la maison de la radio. C'est là notre seule capacité à s'opposer et affirmer la primauté du public sur les intérêts privés de quelques fantoches.
Et ce week end , escapade en vélo , randonnée en tandem dans la forêt de Montmorency. Pédaler, regarder , écouter plaisirs simples qui régénèrent...Après l'effort le réconfort.
Quelques photos de Dom , devinez où.....
Avant de migrer on émigre....On part avant d'arriver. On l'oublie souvent .....Les oiseaux migrateurs le savent bien. Ils partent emigrer puis migrent puis s'exilent ou retournent sur leurs vols.
Ce matin dans cette aube où seul france inter à l'air d'être réveillé, une seule chose à faire arroser ses fleurs. Prendre mon café au lit, lire Desproges pour entetenir un esprit aiguisé. Et vous donner l'heure 8h12 .....
Ecoutez et bon week end:
Pour vous réveiller
Pour vous lever avec énergie
à G.....
Il lui dit qu'il se lasserait d'elle comme des autres,
Son sourire s'évapora un bref instant
Elle le rattrapa et finit de lasser ses souliers.
En lui prenant la main
Elle reprit sa marche.
Ils avançaient sous le regard confiant de l'aube.
Enlacés dans l'embrasement de leurs baisers,
Une libellule s'était posée.
Elle s'abandonna au creux de lui.
Elle s'obstina dans cette aventure
puissante et fragile
Elle tenta une proposition d'éternité dans la fugacité de l'instant.
Le monde était agitation, rapidité, immédiateté, changement à tout prix
Elle conjugua l'éphémère avec le présent
Elle essaierai au futur...
LN
Je vais prochainement déménager sur Overblog
Il vous suffira de suivre le chemin sur mon blog. Pas de changement ni d'interruption pour les lecteurs que du plus....
Hier je suis allée voir l'exposition, Edvard Munch, à la Pinacothèque. Très peu de monde en cette après-midi, le plaisir de circuler, s'arrêter devant les œuvres sans devoir s'incruster entre les groupes de visiteurs.
Munch, Peintre Norvégien fin 19ème,on le connait par son tableau "Le cri" et l'expo s'intitule "l'anti-cri". Elle montre les œuvres de façon chronologique. Étonnant travail avec l'expérience de différents procédés, mélanges de matières. Difficile de trouve un fil conducteur dans les mouvements perpétuels d'expérimentation de ce peintre. Beaucoup de lithographies et de gravures. j'ai beaucoup aimé sa facture de certains tableaux associant l'orange et le violet.
Une belle lithographie que j'ai aimé: Le baiser.........
Tu attends quoi? de trouver l'inspiration, là sans rien faire, en te triturant les neurones.
Laisse tomber, plutôt Lâche Prise comme te dit ton prof de peinture. Tu l'as tellement entendu ce "lâcher prise" . Parfois tu y es parvenue sans le vouloir, sans réfléchir, un jour de bon augure.
Oui mais c' est quoi lâcher prise, personne ne peut m'expliquer ce qu'il faut faire...
Justement ne rien faire. Ne pas se crisper, laisser faire, sans intention être là , juste être en présence....
Oui, mais laisser faire y a toujours ton moi qui agit, tout ce que tu as déjà ingurgité comme pensées , sentiments, idées...Ta maison intérieure et chez moi c'est pas très rangé.... Tu peux pas faire abstraction de qui tu es...
Être un oiseau, une libellule pour voler, lâcher prise du terrestre. S'abandonner, sans rien attendre, en acceptant de se laisser surprendre, sans peur, laisser toujours la fenêtre ouverte.
Tout ca c'est des mots mais là....Ici et maintenant..Je vous lâche pour me transporter vers Munch.
LN
EXPOSITION EPHEMERE PEINTURE
DE
Hélène LAPOSTOLLE, Hélène DANAN et Sylviane
Dans notre petit rade de quartier, annexe de notre atelier de peinture
L'ANTARES
181 rue Legendre
Paris 17
Métro Guy Moquet ligne 13 ou Bus 74 et 54 arret Legendre
Le Jeudi 24 Juin de 19h à 21H