Deuxième roman de 663 pages d'un jeune écrivain Suisse de 27 ans, Joël Dicker, récompensé par le prix de l'Académie Française, le prix Goncourt des Lycéens.
Un livre que j'ai tenté de faire durer, mais qui peut se lire en un week end. Une construction étonnante, une histoire kaléidoscopique, où tous les états d'âme s'entrecroisent. En miroir de l'avènement de ce livre, se déploie une aventure, une enquête, un thriller, mais aussi une réflexion sur l'écriture, la page blanche, Amérique, la littérature, le maître et l'élève, la filiation de la création...L'ambiance, un tableau d'Edward Hopper, à découvrir à l'exposition au Grand Palais et sur la couverture du Livre. Un récit de l'intérieur d'une petite ville du New Hampshire qui défraie la chronique, le temps d'une Cold Case.
J'ai savouré chaque soir le moment d'aller me plonger dans cette aventure.
Cela ravive mon désir d'écrire ...un livre.
Je vous parlerai de son premier roman : Les derniers jours de nos pères
Bonne Lecture et n'hésitez pas à changer vos habitudes en partageant vos impressions sur tanamo.over-blog.com
Juste un p'tit mot comme chez Libre nécessité , un flibustier qui vogue sur les flots au gré de sa poésie.
A Bientôt
LN